L'objectif de ce blog est de faire connaître l'actualité (concerts et animations), le parcours, la carrière et le combat d'un homme autodidacte qui a poursuivi son chemin avec l'amour du public, la passion de la musique, de la grande chanson française, de la scène et de l'animation. La rédaction de ce blog à est assurée par DGI OverBlog et n'engage pas la responsabilité de l'artiste. Blog à 100% non lucratif.
FÊTE DE L'HERMIONE, DU MUSÉE MARITIME, DE LA MER ET DES MARINS A LA ROCHELLE
Publié le 4 Avril 2015
"En passant par La Rochelle" au nouveau Musée Maritime :
3 spectacles musicaux
exceptionnels !
C'est dans une salle du nouveau Musée Maritime que Jean-Marc propose aux visiteurs trois spectacles musicaux "En passant par La Rochelle", une occasion de vivre ou de revivre en chansons l'histoire de La Rochelle, un spectacle original conté de l'histoire de La Rochelle du Moyen Age à nos jours.
Dimanche 5 avril : de 11 à 12 heures et de 14 à 15 heures.
Lundi 6 avril : de 11 à 12 heures.
C'est avec des chansons de marins que Jean-Marc a animé la Grande Fête de l'Hermione de La Rochelle.
SAMEDI 4 AVRIL 2015 • LA ROCHELLE
Jean-Marc Desbois
anime et déchaîne
le banquet maritime
C'est dans le cadre de la Grande Fête Rochelaise organisée pour le départ de l'Hermione vers l'Amérique du Nord le 18 avril 2015, de la réouverture du Musée Maritime, de la Mer et des Marins que Jean-Marc Desbois, grimé en "Jean de La Rochelle", a ouvert les trois jours d'animation en commençant par le Banquet Maritime avec des chansons de marins aux rythmes entraînants.
Le plateau nautique est traversé pour l'occasion par un long proscenium (avant-scène) - au milieu des tables du banquet - qui a permis à Jean-Marc de déambuler de la scène au cœur d'un public très participatif et c'est en peu de temps qu'il a su faire monter l'ambiance de la fête et faire aussi oublier un ciel un peu gris.
Une ambiance de fête sur la plateau nautique de l'ancien bassin des chalutiers à La Rochelle
« Les passions sont les vents qui enflent les voiles du navire ;
elles le submergent quelquefois, mais sans elles il ne pourrait voguer. »